Comment faire quand on nourrit le même complexe physique depuis son adolescence ? Si l’on en croit le bon sens paysan, on dirait ; faire avec et passer à autre chose. Tout simplement. Pour la caste des psys et autres broyeurs de cerveaux, il faut apprendre à s’accepter. Et cela peut s’avérer être un long sacerdoce… à 100 € la séance.
Mais il existe une troisième voie ; la chirurgie esthétique. Car enfin pourquoi ne pas user du savoir-faire de chirurgiens compétents et reconnus pour effacer d’un trait de bistouri cette disgrâce qui nous hante depuis tant de temps ? A moins que l’on ne trouve un plaisir particulier au martyre psychologique, ou un avantage certain à se plaindre et se faire plaindre pour une injustice de Dame Nature, comment refuser d’en passer par la chirurgie esthétique pour enfin ôter de son esprit ce complexe ?
Car avant toute chose, c’est ce que permet la chirurgie esthétique ; un regard différent sur soi-même, plus avenant, plus tendre. Il suffit parfois d’un petit rien pour que la confiance en soi rejaillisse, et il n’est pas nécessaire de s’astreindre à l’auto-flagellation parce que la morale prétend que l’on ne pourrait jouir que de quelque chose durement acquis.
C’est vrai, la chirurgie esthétique permet d’accélérer le changement. C’est vrai, la chirurgie esthétique rend les choses plus faciles. Et alors ? Doit-on s’en priver ? Au contraire, profitons enfin de ce que la démocratisation de la pratique chirurgicale nous apporte pour effacer définitivement nos complexes physiques. Nous ne pourrons que mieux nous sentir dans notre vie quotidienne. Profitons à plein de ce que ces technologies nous soient désormais accessibles et commençons enfin à nous ressembler.
Bien sûr, la chirurgie esthétique ne fait pas de miracle. Mais elle corrige, modèle, assouplit les lignes, permet le galbe, ose les coupes ou les ajouts… Et accessoirement, nous fait économiser quelques séances chez Sigmund et consorts…
