Le sentiment que fait naître la perte de cheveux est très différente d’un individu à un autre. Si certains l’appréhendent très bien, c’est même à une époque, devenu un phénomène de mode. D’autres, par contre, le vivent très mal. Malaise général, repli sur soi, la calvitie peut, certaines fois, causer une véritable rupture sociale. Différentes techniques existent aujourd’hui pour pallier cet inconvénient, dont les microgreffes de cheveux.
Chute de cheveux : les moyens d’y remédier
L’alopécie se décline en quatre catégories:
– androgénétique, celle qui touche les hommes.
– congénitale, elle se matérialise par une absence de racines de cheveux.
– aigüe généralisée, on l’a reconnaît à une chute très rapide d’une grande quantité de cheveux.
– et enfin, l’alopécie localisée, dont l’origine peut-être une maladie de la peau, une brûlure ou encore une tumeur. 7 hommes sur 10 et 1 femme sur 5 sont confrontés à un moment de leur vie, à la chute de cheveux. En réponse à ce problème, on retrouve les microgreffes de cheveux.
Par définition, on parle de microgreffe lorsque le greffon comporte de 1 à 4 cheveux, de minigreffe, lorsqu’il en comporte de 4 à 10, et de greffe classique, pour 15 à 35 cheveux. Ceci dit, cette dernière n’est plus utilisée, car le résultat était peu esthétique d’où le surnom de « champs de poireaux » donné à la zone implantée en usant de cette technique.
A la fois discrète, efficace et rapide, la microgreffe permet de retrouver ses cheveux de manière définitive. Réalisée sous anesthésie locale, la microgreffe est une technique applicable aux hommes comme aux femmes. La repousse intervient au bout d’environ 3 à 4 mois.